Au CRESSON, ENSA Grenoble

Sous la direction de Théa Manola sur le projet ANR PROSECO « PROduction SEnsible des projets urbains COntemporains » :

  • Steven Bailleux  en M2 Urbanisme IUGA-UGA
  • Channah Dagba en M1 Anthropologie Lyon 2
  • Victor Babin Géographe-Urbaniste, en M2 Géographie Lyon 3

Il s’agit pour ces trois stagiaires de participer à la réalisation de l’inventaire de projets sur 5 territoires français, de procéder à l’identification, la classification et l’analyse descriptive par « fiches projets » des projets en cours sur un des 5 territoires français identifiés.
Il s’agit aussi de participer à la formulation du protocole d’enquête qualitative.

Sur l’ANR PROSECO et sur la recherche OSER « Outils d’aménagement, sensible, Ecologie et (hyper)Ruralité », avec Nathalie Audas :

  • Lisa Suchier en M1 Architecture ENSA Grenoble

Sur la recherche OSER, avec Christophe Séraudie :

  • Pauline Laffret en M1 Architecture ENSA Grenoble

Sous la direction de Nicolas Tixier et Fatma Mrad :

  • Nada Essid diplômée en architecture et actuellement étudiante en M2 Design Urbain à l’IUGA de Grenoble.
    Le stage porte sur l’initiation aux méthodologies de recherche : mesures et analyses de la réponse émotionnelle suscitée par les ambiances urbaines.

Sous la direction de direction de Françoise Acquier :

  • Elisa Charrié pour le CRESSON et le Réseau Ambiances : mise en ligne des actes du colloque Ambiances 2020
  • Léa Celle  pour l’ANR Sensibilia : création d’une base bibliographique, d’un carnet hypothèses, d’un plan de gestion de données, d’un espace de stockage des données.
Sous la direction de Pascaline Thiollière :
  • Ouafae Rhayour en L2 à l’ENSAG. Elle  travaille autour de la dimension thermique en croisant approche physiologique de la thermorégulation corporelle, approche architecturale et physique de la thermique du bâtiment et de l’environnement et approche sensible et culturelle de la thermoception et de la relation affective à la température.

Au CRENAU, ENSA Nantes

Sous la direction de Céline Drozd pour le projet ANR Percilum « Visualisation, perception et pédagogie des ambiances lumineuses via des dispositifs numériques innovants », avec Yannick Sutter et Daniel Siret :

  • Mathilde Maire-Sébille en M2 Architecture ENSA Nantes
    Elle travaille sur la construction d’un corpus de références pour l’enseignement des ambiances lumineuses dans les ENSA.

Sous la direction d’Ignacio Requena-Ruiz dans le cadre du projet ANR Coolscapes « L’espace urbain climatisé : perspectives techniques, spatiales et culturelles » :

  • Amande Marie en M2 Architecture ENSA Nantes, pour un stage intitulé : « Représentation et analyse des expériences thermiques créées par un corpus de dispositifs spatio-climatiques ».

Sous la direction de Laurent Lescop et Pascal Joanne pour le projet de recherche SERRES+ « Serres sans énergie fossile »,  porté par le Pôle de compétitivité Végépolys Valley :

  • Ambre Ménateau en M2 Architecture ENSA Nantes, qui travaille sur l’état de l’art et sur le cahier des charges pour la conception des nouvelles serres.

Sous la direction de Myriam Servières, Vincent Tourre et Thomas Leduc

Sous la direction de Virginie Meunier et Céline Drozd :

  • Sarah Pasquier en M2 Architecture ENSA Nantes sur le sujet « Matériaux issus de décloisonnements industriels et générateurs d’ambiances architecturales ».

Sous la direction d’Elise Roy :

  • Ornella Ghanem dans le cadre de son stage Master 2 Villes et Territoires. Son stage porte sur « la ville du quart-d’heure, quelles inégalités ? » (notamment en écho avec l’expérience du confinement et les déplacements réduits dans le km), avec une étude de cas portant sur des secteurs nantais.

Pour la démarche de recherche inter-Ensa afin de suivre, documenter et anticiper collectivement les conséquences de la pandémie sur nos modes de vie, nos organisations, nos territoires et nos modes d’habiter :

Sous la direction de Laurent Devisme et Frédéric Barbe

  • Yoann Roux, en M2 Architecture ENSA Nantes
    Son stage porte sur la réalisation d’une cartographie traduisant la complexité du territoire du bassin de vie de l’aéroport de Nantes-Atlantique, dans le contexte de la crise sanitaire actuelle et du réatterrissage du débat métropolitain sur l’infrastructure existante depuis l’abandon de NDDL.